
01. Wanderer
02. In Your Face
03. You Get
04. Woman (featuring Lana Del Rey)
05. Horizon
06. Stay
07. Black
08. Robbin Hood
09. Nothing Really Matters
10. Me Voy
11. Wanderer / Exit
SINGLES
Wanderer
Woman
Stay
Wanderer
Woman
Stay
REVUE DE PRESSE
Moustique : * * * *
Sur la pochette de Wanderer, Cat Power exhibe sa guitare acoustique et son petit garçon. Ici, l'enfant et l'objet sont intimement liés. Après l'électronique de "Sun" (2012), Chan Marshall s'interroge sur le monde qu'elle a connu et celui qu'elle laisse à sa progéniture. Gratté sur des cordes en nylon, son questionnement touche au sublime. Le disque enferme une ballade avec Lana Del Rey (Woman), une reprise de Rihanna (Stay) et quelques bijoux (In your face, you get). Voix iconique de l'Amérique, Cat Power signe un album bouleversant.
Le Soir : * * *
Avec Cat Power, les choses sont toujours fragiles. Tout peut exploser ou s'effondrer, on est toujours sur le fil, et c'est cette fragilité émotionnelle qui rend sa musique si touchante et pertinente. Sauf que ces dernières années, le succès aidant, peut-être, les sorties de Chan Marshall étaient moins convaincantes. Un disque de reprises ronflant (Jukebox en 2008) et une tentative électro malheureuse (Sun en 2012) laissaient penser qu'elle avait peut-être tout dit. Mais avec Wanderer, revoilà Chan Marshall, guitare sèche dans les mains, qui refait la route empruntée par les folksters et bluesmen américains du siècle dernier en les rendant plus accessibles, plus modernes, bref plus pop. Preuve avec le tube potentiel "Woman" en duo avec Lana Del Rey et cette reprise méconnaissable de "Stay" de... Rihanna. Du pur Chan Marshall à son meilleur. Wanderer n'a certes pas le tranchant de ses albums des 90's, mais il laisse entendre une Cat Power plus posée délivrer des chansons justes, touchantes et, oui, fragiles, qui ne tiennent que sur un fil (une corde de guitare) et vont directement au coeur. Son meilleur album depuis You Are Free en 2003.
Moustique : * * * *
Sur la pochette de Wanderer, Cat Power exhibe sa guitare acoustique et son petit garçon. Ici, l'enfant et l'objet sont intimement liés. Après l'électronique de "Sun" (2012), Chan Marshall s'interroge sur le monde qu'elle a connu et celui qu'elle laisse à sa progéniture. Gratté sur des cordes en nylon, son questionnement touche au sublime. Le disque enferme une ballade avec Lana Del Rey (Woman), une reprise de Rihanna (Stay) et quelques bijoux (In your face, you get). Voix iconique de l'Amérique, Cat Power signe un album bouleversant.
Le Soir : * * *
Avec Cat Power, les choses sont toujours fragiles. Tout peut exploser ou s'effondrer, on est toujours sur le fil, et c'est cette fragilité émotionnelle qui rend sa musique si touchante et pertinente. Sauf que ces dernières années, le succès aidant, peut-être, les sorties de Chan Marshall étaient moins convaincantes. Un disque de reprises ronflant (Jukebox en 2008) et une tentative électro malheureuse (Sun en 2012) laissaient penser qu'elle avait peut-être tout dit. Mais avec Wanderer, revoilà Chan Marshall, guitare sèche dans les mains, qui refait la route empruntée par les folksters et bluesmen américains du siècle dernier en les rendant plus accessibles, plus modernes, bref plus pop. Preuve avec le tube potentiel "Woman" en duo avec Lana Del Rey et cette reprise méconnaissable de "Stay" de... Rihanna. Du pur Chan Marshall à son meilleur. Wanderer n'a certes pas le tranchant de ses albums des 90's, mais il laisse entendre une Cat Power plus posée délivrer des chansons justes, touchantes et, oui, fragiles, qui ne tiennent que sur un fil (une corde de guitare) et vont directement au coeur. Son meilleur album depuis You Are Free en 2003.